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ramasse les marrons, et toi, tu les mettais. C’est ça, la vie. Il a eu ballons. Il en a jamais apporté un à l’école. Quand t’as dit ça, t’as tout dit. Attention, tu me pisses sur les pompes. Pourquoi tu me regardes pisser ? Pour voir à quoi ressemble un truc qui ne sert plus à rien. On va leur montrer qui c’est, les mecs. Oh là ! C’est bon, j’ai compris. Chef, s’il vous plaît. On a les deux gagnants de la tombola, là. Le cochon vivant. Assez rigolé. Vous me sortez les papiers du véhicule. J’ai pas. Pardon ? Je vous explique. Chaque fois que je sors, je bois beaucoup et je les perds. Donc je ne les prends plus, comme ça, je ne les perds plus. C’est logique. C’est ça, oui. On est tombés sur deux comiques. Regardez. Salut, Jo. Ça va ? Oui. , le Chinois ! En chair et en os. À chaque fois que je te vois, c’est un choc, pour moi. Mon « la Tige », t’es toujours dans la gendarmerie ? On fait ce qu’on peut. Qu’est-ce que tu veux ? Les gars, vous avez vu ? Vous avez pas mangé que de la glace. On voulait, au départ. Et le congélateur est tombé en panne. Vous sortez du Milord. Un peu, quand même. Ils sortent du Milord. Toi, tu ne connais pas. Allez-y, mais c’est la dernière fois. D’accord ? Mollo. OK ? Confiance ? La Tige, on t’aime. Moi aussi, le Chinois. Tu sais qui c’est, eux ? Non. Des seigneurs. Jo, il faut que je te parle. C’est au sujet de Tom. Il veut plus jouer au rugby. Voilà, je te le dis. Là, c’est sec. Ça va souffler. Nom de Dieu, le voilà. Allez, Pompon. Jo, il faut que je te parle. C’est au sujet de Tom. Parce que Radio Parce que rien du tout. D’accord ? D’accord. D’accord. Trace, trace. Fais chier, Pompon. Je sais pas ce qui m’a manqué, là. Ça va, les petits loups ? Oui, monsieur. Prenez la permanence de h. Bien sûr, M. Cahuzac. Vous êtes gentille. Mlle Dintrans, je vous demanderais d’avoir à l’oeil ce M. Cahuzac. Nous avons affaire à un drôle de CPE. Croyez-moi. Ça va, Tom ? Tu joues pas ? Non, monsieur. On dirait que t’en meurs d’envie. C’est quoi, le problème ? J’ai envie, mais le problème, c’est mon père. Je ne joue bien au rugby que quand il n’est pas là. Et comme il est toujours là Radio Ton père, si tu lui parles, il va t’écouter. Vous ne le connaissez pas. Oui. Les Maoris All Blacks disent « Kia kaha, kia toa. » Ça veut dire « Sois fier, sois fort. » Ils disent aussi « Personne ne peut t’empêcher de devenir ce que tu veux devenir. » Personne. Même pas ton père. Et ça, il n’y a pas que les All Blacks qui le disent. Vous en connaissez ? J’ai joué là-bas contre eux, à Wellington. On s’est pris une bonne branlée. C’est un peu normal. Tu aimerais apprendre le rugby avec un All Black ? Viens me voir après. On parlera des All Blacks. Ne dis rien à ton père, parce que j’ai l’impression qu’il va faire la gueule. . Bonjour, Cathy. Bonjour, Jo. Boulon ! T’es pas fatigué, de me faire la gueule ? Eh ben, continue, alors. Messieurs, bonjour. C’est l’hymne de l’ouverture des fêtes de Doumiac, alors je vous préviens qu’on va bosser jour et nuit. Je veux de la perfection. OK ? OK. Ah. Jo. Merci d’être venu. Entre. Installe-toi. Attends. Tiens, mets-toi là. Excuse, pour la fanfare. Boulon a l’impression de diriger l’orchestre de New York. Ça sent la fête. Ça me rappelle les jours de grand match. Tu sais que Bois de France a été repris. L’usine redémarre. Du coup, je remets les fêtes de Doumiac à l’honneur. C’est génial. De quoi tu voulais me parler ? Jo, alors Radio Justement Radio Comment dire ? D’ailleurs, je voulais te voir pour te parler d’un problème, parce que Radio Le terrain, où tu vis en ce moment avec Tom et Radio Comment tu l’appelles, l’autre ? Pompon. Hein ? « Pompon. » Voilà. Eh ben, ce terrain, nous, la municipalité, on l’a vendu. Tu le savais ? Comment ça, « vendu » ? Bernard, tu déconnes ou quoi ? Il a été vendu aux Anglais qui ont racheté Bois de France. C’était la condition sine qua non pour que la reprise se fasse. Tu vois ? T’as laissé vendre le terrain des Canavaro, construit en par mon arrière-grand-père. Attends. Bernard, tu déconnes, là. Je te rappelle que c’est plus votre terrain. Ton arrière-grand-père l’a donné à la municipalité. Il est à nous. Voilà. Il a fait ça de peur qu’un Canavaro ne fasse n’importe quoi avec. Dans votre famille de bûcherons, il n’y a pas toujours eu que des Prix Nobel. C’est toi qui fais n’importe quoi. C’est bien. Ça ne m’étonne pas de toi. Quand on jouait, les marrons, tu les mettais toujours par-derrière. À toi, Jo. À ton épouse Camille et à votre fils Tom. Les mecs, on le fait, ce match ? Oui ! Regarde papa. Il joue bien. Alors ? T’as vu comme il joue bien, papa ? Mais il dort, ce con ! Je suis désolé, Jo. On ne va pas prendre ton fils. On n’a pas besoin de lui. Ton rugby, là, j’en ai marre ! Jo, tu me fais peur. Tu me fais peur. Il a été vendu, Jo. Mettons les choses à plat. On a pas besoin de lui. Mon fils, on se réveille. Il faut qu’on parle. Oh, Pompon ! Pompon ! Debout. Je sais pas si ce mur vous parle. Je vais faire simple on va remonter une équipe. Et toi, Tom, tu vas leur montrer qui t’es et d’où tu viens. Voilà, messieurs. OK ? Bonne nuit. Les Anglais qui rachètent l’usine et qui te virent du terrain, je le crois pas. Des Anglais, comme lui Radio T’as vu comment marche un Anglais ? Avec une carotte dans le cul. Et pas des carottes râpées. Ça, non ! Qui lui parle en premier ? Moi. Messieurs, bonjour. Alice Hamilton, la nouvelle directrice de Bois de France. Robert Cahuzac, conseiller d’éducation, alias « le Chinois ». Enchantée. Pompon. Comme deux ponts, mais attachés. Charming. Et vous êtes M. Canavaro, je suppose. Vous avez demandé à me voir ? Oui. Hein, Jo ? Vas-y. Je croyais que tu voulais parler le premier. OK, merci. J’ai compris. Donc Radio Voilà. On voudrait remonter une équipe de rugby. Voilà. Le rugby est un beau sport. Vous, les Anglais, vous le savez. Comme on va participer au Challenge du Centre, une très belle compétition, on aurait voulu le terrain le temps du tournoi. C’est ce qu’on s’est dit. Oui, c’est ça qu’on a dit. Hein, Jo ? Oui. Tout d’abord, je suis irlandaise, M. Cahuzac. Pas anglaise. Je vais utiliser ce terrain pour le stock. J’en ai besoin. Je ne peux pas vous aider. Regarde. Il faut y aller. J’ai jamais habité là, et j’ai envie de chialer. Mon grand-père me disait « Si tu chiales, tu vas en pension. » Quand j’y pense, j’ai jamais pleuré. Si, t’as déjà pleuré. Non, jamais. Si, à l’enterrement de papi. Comment tu le sais ? T’y étais pas. On me l’a dit. Et qui t’a dit que j’ai pleuré à l’enterrement de papi ? Qui te l’a dit ? Mon cul. Ça le fait marrer, lui. Regarde les deux cons, là. C’est drôle. Excuse-nous. Il est au taquet, Boulon. Il a le plumet au vent. Ça doit pas être joli. Là, au bout. Non, à gauche. . C’est pas centré, ça. Tu racontes quoi ? C’est pile au milieu. Non. Viens voir ici, si tu ne me crois pas. Regarde. Là. Arrête. Là. C’est en plein milieu, là. Et c’est pas centré. Voilà. Tu comprends la nuance ou pas ? Inutile de me demander mon avis, si t’en fais pas cas. Si l’un des deux pouvait m’aider, ça m’arrangerait. C’est pas mon déménagement. Va l’aider. Ça, c’est pas centré. « Milieu », « centré Radio » Il fait chier, Jo. Pompon, tu viendras voir ce que ça veut