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cependant, gardait l’espoir. Cette notion de  »hordes asiatiques », comme plusieurs le pensaient, était simplement une tentative du gouvernement pour durcir leur volonté à résister. C’est donc dans la nuit du octobre , alors que le village de Nemmersdof et d’autres communautés les plus proches du front, dormaient dans une sécurité imaginaire, que l’impensable est arrivé. Après avoir percé une ouverture à travers la ligne Allemande, l’Armée Rouge fit brutalement éruption dans le Reich et s’est répandue sur la campagne. Après plusieurs jours de combats désespérés, les Allemands de la Wehrmacht se regroupèrent et lancèrent une intense contre-attaque et finalement conduisirent l’Armée Rouge de l’autre côté de la frontière. Ce que les troupes allemandes découvrir bientôt était atterrant. C’est à Nemmersdof que les soldats allemands stupéfiés ont vu pour la première fois l’enfer sur terre. Le long des routes, les réfugiés qui avaient fuit, furent rattrapés par les Communistes ; les gens avaient été arrachés de leur charrettes, violés, puis tués sur place. Un témoin Dans la cour de ferme, un peu plus loin sur la route se trouvait une charrette, sur laquelle quatre femmes nues étaient clouées par les mains, en croix. De l’autre côté se trouvait une grange et sur chacune de ses deux portes une femme nue y était clouée par les mains dans une posture en croix. Dans les maisons nous avons trouvé un total de femmes, incluant les enfants et un vieil homme de ans, tous morts. Tous assassinés de façon bestiale, excepté quelques-uns qui avaient des trous de balles dans leurs coups. Quelques bébés avaient la tête défoncée. Dans une chambre nous avons trouvé une femme de ans assise sur un canapé, dont la moitié de la tête avait été massacrée avec une hache ou une bêche. » Les vieillards qui avaient tenté de protéger leurs femmes, leurs filles, leurs petites-filles, furent eux aussi assommés et tranchés en deux. Cinquante prisonniers de guerre français et travailleurs polonais, qui s’étaient instinctivement portés au secours des gens furent castrés et tués. Atterrées par l’énormité du crime, les autorités allemandes demandèrent que des observateurs neutres d’Espagne, de Suède et de Suisse viennent constater le carnage écœurant de près. Toutefois, lorsque leurs visiteurs eurent rempli leurs rapports et que le monde extérieur fut mis au courant, il n’y eut que le silence. À l’hiver , la propagande de guerre vicieuse menée contre l’Allemagne fut gagnée. À ce stade de fin du conflit, la guerre des mots atteignit de tels extrêmes diaboliques, que peu de personnes, au-delà des frontières, furent préoccupées par les têtes des bébés fracassées ou les femmes allemandes crucifiées. Aux derniers mois de la guerre, l’ennemi à abattre n’était plus seulement Adolf Hitler, le Parti «Nazi» ou même les soldats sur le terrain. Aux derniers mois de la guerre, le but des Alliés en approche, n’était rien de moins que la totale extinction de la nation allemande : chaque homme, chaque femme, chaque enfant. Alimentant les flammes de la haine : Ilya Ehrenburg, un propagandiste juif. Un des hommes les plus influents de l’Union Soviétique, Ehrenburg fit en sorte que son message diabolique parvienne à chaque soldat de l’Armée Rouge, en ordonnant que des tracts soient largués depuis les avions sur les lignes de front. La directive de Ehrenburg Tuez-les tous, les hommes, les vieillards, les enfants et les femmes, et après que vous vous soyez amusés avec eux. Tuez ! Rien en Allemagne est innocent, ni les vivants, ni ceux à naître. Brisez la fierté raciale de la femme allemande. Prenez-la comme votre butin légitime. Tuez ! Vous, braves soldats de la victorieuse armée soviétique. » Bientôt, alors que l’Armée Rouge contraignait à nouveau la Wehrmacht dans l’Est, des millions de civils allemands subirent le même sort atroce que les victimes de Nemmersdof. Bien que les premières rencontres avec les troupes de choc soviétiques furent vraiment traumatisantes, c’était la seconde vague de soldats qui faisait déferler l’enfer sur terre. À de nombreuses occasions, avant de poursuivre leur avancée, les troupes prévenaient les civils sans défense Les Mongols arrivent. Ce sont des hommes très mauvais. Partez vite ! Partez vite ! » Terrifiés par les nouvelles, beaucoup d’Allemands tentèrent de fuir. La plupart, cependant, furent pris au piège. À part détruire l’alcool et cacher les jeunes filles, la plupart ne pouvaient qu’attendre et prier pour que leurs pires craintes soient infondées. Après une attente parfois de plusieurs jours, mais normalement de quelques heures la seconde vague redoutée arrivait. Composée en grande partie de Mongols et d’autres Asiatiques, ainsi que de d’anciens condamnés, ces hommes qui formaient la seconde vague des troupes, étaient considérés, même par leurs propres camarades comme tout à fait impitoyables. À la tête de ce groupe se trouvaient les Commissaires communistes, les Officiers politiques fanatiques, composé presque exclusivement de Juifs. Ces individus haineux ont agi au plus près des directives de ceux qui avaient orchestré ces horreurs qui se sont abattues sur le peuple allemand. De toutes les méthodes utilisées pour exprimer sa haine, l’Armée Rouge l’a le mieux fait avec le viol. Victime de viol Quand les premiers Soviétiques sont arrivés les troupes de combat ils sont venus et ils voulaient tout voir, ont demandé pour les armes, les soldats, ont tout regardé méticuleusement, n’ont rien trouvé et se sont montrés très aimables, puis ils sont juste partis. Alors le prochain lot est arrivé. Ils m’ont entraîné à l’extérieur immédiatement. Ma mère a voulu se jeter devant moi, mais elle fut repoussée. Et puis ils m’ont emmené à l’étage et comme j’essayais de me défendre, j’ai été menacée avec une arme à feu. Et puis, quand je suis redescendue j’étais en état de choc, mais juste contente d’être encore en vie. Un d’entre eux m’a dit Femme, viens ! » Ils le disaient en Allemand Frau Kom ! » Nous étions leur récompense. C’était toujours comme ça. » De à ans, en bonne santé ou malade, dedans ou dehors, dans les champs, sur les trottoirs contre les murs, la souillure,